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mardi 31 août 2010

Suite sur le recrutement 2.0

Le recrutement 2.0 vient sans doute du web 2.0. C'est une façon de parler des nouveaux moyens technologiques offert aux recruteurs pour justement recruter du monde. Parmi ces moyens, notons les sites de réseaux sociaux comme Facebook ou LinkedIn.

Dans le billet de Frédéric, Comment gérer sa réputation personnelle en ligne, on nous explique que 35% des recruteurs auraient déjà rejeté des candidatures à cause d’informations trouvées sur un site de réseautage social. Virginie, dans son billet Recrutement 2.0: Votre réputation en ligne est-elle à la hauteur?, nous identifie les raisons qui poussent ces recruteurs à délaisser des candidats.

Il m'apparaît évident que les recruteurs vont se servir de plus en plus de ces outils qui permettent de soit valider certaines informations reçues par le candidat ou d'en connaître un peu plus sur ce dernier. Par exemple, avec le profil il est possible de valider la scolarisation du candidat, du moins la fréquentation de l'établissement. Je suis également d'avis que certaines choses trouvées sur le Web ne qualifient pas nécessairement le candidat. Comme dans l'exemple de rejeter un candidat à cause d'une photo dans un état plus ou moins décent. Mais cela dit, on ne peut pas faire grand chose dans ces cas. Ayant déjà participé à l'embauche de personnel, je peux vous confirmer que la discrimination est bien présente et bien cachée. On ne vous dira jamais la vraie raison pour votre refus. Entre vous et moi, lorsque deux candidats possèdent la même formation et sensiblement la même expérience, il ne reste que des détails pour faire la différence. Avant ce détail était peut-être le soulier mal attaché, aujourd'hui çà peut être justement la photo sur internet.

Une chose est claire, avec ces nouvelles méthodes offertes aux recruteurs vaut mieux en laisser le moins que possible sur le Net. Faites donc une petite recherche avec votre nom avant d'aller en entrevue, enlever tout ce qui vous discrédite. Et s'il est impossible de l'effacer, il est peut-être préférable d'en discuter en personne que d'avoir de mauvaises surprises après coup.

lundi 30 août 2010

Poursuite sur 'Le boom des réseaux sociaux écolos'

J'aimerais ajouter quelque chose à l'article de Charles(lien article) en réponse à celui de Chafiq (lien article original).

La tendance écolos est très présente sur le Web et particulièrement en France, comme démontré par Chafiq. Tout comme Charles, je ne crois pas que Facebook soit l'instigateur de ce courant mais bien plus un moyen technologique permettant entre autres de créer des groupes ayant des intérêts communs et de promouvoir un objectif par exemple 'écolos', comme l'initiative de Charles.

Je ne peux m'empêcher de commenter cette initiative justement. ( Ceci m'interpelle particulièrement, puisque travaillant à l'étranger je prends régulièrement ce moyen transport. Lors de ma lecture du billet de Charles, je me suis senti visé et je me suis dit qu'effectivement l'avion doit polluer énormément. Ensuite je me suis dit, ok un vol de 12h pollue comme 1/4 d'un humain par année mais il y a quand même plus de 300 personnes dans ce type d'avion. Après quelques recherches, il est clair que l'avion pollue beaucoup et que ce moyen de transport est de plus en plus utilisé donc çà ne va qu'empirer. Mais que pouvons-nous faire ? Il n'y a pas vraiment d'alternative lors du passage d'un continent à l'autre. L'industrie aéronautique travaille sur des moteurs plus économique en carburant mais cela ne règlera pas le problème tant qu'une source propre de carburant soit utilisé. Pour l'instant, le mieux serait de prendre une taxe écologique sur chaque billet d'avion afin de financer des projets diminuant les gaz à effets de serres comme expliqué dans cet article du journal Le Devoir. (lien vers l'article)

En conclusion, le courant écolos est effectivement très présent dans notre monde et le web qui est à l'image du monde en est certainement pas exclue.

Pour l'avion, je suis tout-à-fait prêt à payer la taxe...en plus que c'est ma compagnie qui paye ;)

Bilan Activité B

1. Expliquez les composantes de votre initiative et leurs liens entre eux. Incluez des liens.

Mon initiative est consacrée à un site pour dénoncer les arnaqueurs de notre monde dont la principale composante est le site web : http://sites.google.com/site/anticrosseur

Autour de cette composante, j’ai utilisé plusieurs moyens pour promouvoir le site. Le plus important fût une page facebook créé pour l’initiative, vous pouvez me retrouver sous le nom de L'anti Crosseur ou l’adresse de courriel : ldtino@yahoo.com. Ensuite, j’ai également créé un compte Twitter toujours sous le nom anticrosseur. Finalement, j’ai utilisé le bon vieux courriel électronique pour faire connaître l’initiative à mes contacts.

2. Décrivez sommairement les activités que vous avez menées.

Ce n’est pas vraiment la page facebook en tant que telle qui m’a permis de promouvoir l’initiative mais plus les groupes auxquels je me suis abonné et les messages laissés sur leur wall. Ensuite, avec mon compte Twitter qui est redirigé sur le site web, tout le monde visitant le site peut voir les messages, 3 messages ont été envoyés par ce compte. J’ai également envoyé 1 courriel à tous mes contacts les invitant à visiter mon site et de participer à mon initiative.

3. Analysez les statistiques de fréquentation sur votre page centrale. Incluez des figures.

Quelles ont été les tendances ?

On peut clairement voir quel effort a mené à un résultat. Le 5 août, j’ai envoyé un courriel à mes contacts. Du 6 au 20 août, j’ai publié plusieurs commentaires sur le site de Facebook. Il y a certainement eu un peu d’intérêt parmi les personnes mais cet intérêt à diminuer avec le temps puisqu’il avait déjà été sur le site.
D’où provenaient les visiteurs ?
Les personnes venaient principalement du Canada, où sont la majorité de mes contacts et de l’Algérie où je travaille présentement. Le reste est probablement venu de Facebook.


-Quels référants se sont avérés les plus importants ?



Contrairement à ce que j’ai dit précédemment, ce tableau me laisse un peu perplexe. Pour l’accès direct, c’est probablement moi pour une grande majorité. Pour facebook, c’est pas mal ce que j’avais analysé. Par contre, pour les courriels, je vois 4 visites seulement. Si la source sites.google.com (referral) est comptée comme un lien dans un courriel alors mon analyse demeure correcte. Par contre si par cette source, Google, veut dire un lien sur le web alors je ne sais pas d’où provenaient ces personnes.

1. Identifiez les principaux facteurs qui, selon vous, ont pu aider ou nuire à la visibilité de votre initiative.

Le principal problème de mon initiative provient de l’hébergement du site web. N’ayant pas d’hébergeur, j’ai utilisé les services de google site pour m’héberger gratuitement. Je croyais que les utilisateurs de google, possédant un compte gmail, pouvait laisser des commentaires sur le site. Mais après avoir créé un autre compte gmail, je me suis rendu compte qu’il n’était possible qu’aux administrateurs de laisser des commentaires. Le site que j’ai créé a pour fonction de donner la possibilité aux gens de partager leur expérience avec le reste des internautes. Donc le fait de ne pas pouvoir déposer leur commentaire enlève complètement l’idée principale du site. Je crois que le site a beaucoup de chance de succès, si les internautes pouvaient s’exprimer librement. J’ai expérimenté plusieurs façons de commercialiser le site et je pense que cela m’a permis d’apprendre les bonnes pistes pour faire parler du site. Facebook semble être le meilleur moyen pour rejoindre du monde ayant des intérêts communs. Twitter ne me paraît pas très efficace sauf s’il est possible de se faire suivre par plusieurs personnes. Dans mon cas, il n’y a personne qui s’est inscrit pour me suivre donc je ne l’ai pas exploité beaucoup. Et évidemment, le moyen le plus simple et le plus efficace est certainement de commencer par les personnes que nous connaissons.

En conclusion, toute initiative doit avoir un but et ce but se doit de fonctionner. Dans mon initiative, la principale idée est de permettre aux gens de s’exprimer et de laisser le site grossir par le public et non contrôler par l’administrateur du site. L’expérience m’a permis d’en apprendre beaucoup sur les façons de faire connaître une initiative mais sans la fonction principale, le site a peu de chance de se voir évoluer. Peut-être que je tenterai de porter cette initiative dans le monde concret mais il me reste aussi les aspects légaux à explorer.

mardi 10 août 2010

Google une menace à Facebook ? partie 2

Je sens bon de continuer et approfondir la réflexion sur le sujet.

Dans mon billet précédent, je parle des avantages de Facebook et du retard de Google dans le secteur des réseaux sociaux. Mais il est clair qu'avec des acquisitions, il est possible de se repositionner rapidement. Comme spécifié à la fin du billet, Google a fait l'acquisition de la compagnie Slide. Slide est en fait une compagnie qui développe des jeux pour les réseaux sociaux dont MySpace et Facebook. Source

Avec cette acquistion, contrairement à ce que j'aurais pu laissé croire dans mon dernier billet, Google ne tente pas de concurrencer Facebook. Ce qu'explique le directeur de l'ingénierie David Glazer, Google veut rendre ses services plus sociales. L'achat de Slide va permettre d'incorporer l'équipe de Slide à celle de Google. Le CEO Eric Schmidt explique également que la stratégie de Google est d'améliorer les résultats de recherche en comprenant mieux le contexte dans lequel les utilisateurs font leur requête et également de diminuer le "spam" en sachant ce que l'utilisateur et ses amis considèrent comme intéressant. Voir l'article de CNNMoney

Donc Google ne tente pas de créer un site de réseau social, du moins ce n'est pas ce qu'il laisse paraître pour le moment.

Facebook peut dormir sur ses deux oreilles...pour l'instant.

lundi 9 août 2010

Google une menace à Facebook ?

Ce billet est pour poursuivre le billet de Chafiq (lien vers le billet) et de voir si Google peut vraiment devenir une menace à Facebook.

Premièrement, dans le billet de Chafiq, on parle que Google se lance dans les réseaux sociaux pour concurrencer Facebook. Google semble miser sur le jeu pour se différencier ou améliorer son offre vis-à-vis de son principal concurrent. Cette carte est déjà bien exploité, selon moi, par Facebook. Il y a certainement place à amélioration mais Facebook a déjà une bonne avance et ayant déjà un si grand nombre d'utilisateur, les grands joueurs du domaine des jeux vidéos ne peuvent certainement pas le délaisser. Donc malgré le poids de Google, dans le domaine des réseaux sociaux Facebook est le dominateur et ce n'est pas avec des jeux qu'ils vont le remplacer.

Ne pensez pas que je dis que Google ne réussira pas. J'admire énormément Google et ils sont devenu si puissant qu'ils peuvent réussir n'importe quoi. Mais entrer dans un domaine relativement saturé, selon moi, n'est pas chose facile surtout lorsque le principal concurrent à une si grande avance. Personnellement, il va falloir tout un changement pour que je m'ouvre un autre compte et que je recommence tout ce que j'ai défà fait sur Facebook. Mais, c'est toujours une question d'adoption. S'il n'y a plus personne sur Facebook et tout le monde est sur Google alors j'y serai aussi.

Tout çà c'est bon pour les utilisateurs de Facebook mais je crois que Google vise principalement le marché chinois. Avec l'achat de la compagnie Slide, Google s'ouvre la porte sur un énorme marché où Facebook n'a pratiquement pas de part.

Bonne chance à Google, la concurence crée souvent des nouveautés intéressantes.

jeudi 5 août 2010

Tous sur Facebook

Un billet très intéressant de Charles Pauzé et un commentaire très pertinent de David Morin (lien vers le billet) me pousse à écrire aussi un petit quelque chose sur le sujet.

Tout comme le dit Charles, Facebook est rendu pratiquement un incontournable. La plupart des utilisateurs ne voit pas comment on pourrait s'en passer aujourd'hui...

C'est vrai que beaucoup de monde se servent de Facebook. C'est vrai qu'il est très facile de rejoindre nos contacts, d'une shot, pour par exemple planifier un évènement. C'est vrai qu'il est possible de retrouver des connaissances abandonnées au cours des années. Je pourrais en rajouter encore mais je crois que vous avez compris l'idée.

Mais il y a également plusieurs choses désagréables sur Facebook. La pire, selon moi, est le fait qu'on est un peu obligé d'ajouter le monde qui ne sont pas vraiment nos amis. Par exemple, les collègues de travail. C'est vrai qu'on passe beaucoup de temps au travail et que je ne veux pas passer le temps seul donc je me tiens avec du monde. Je ne dis pas que je n'aimes pas les personnes avec qui je me tiens au bureau mais ce n'est pas nécessairement des personnes avec qui je veux partager mes photos, mes amis, les messages de mes amis, tout simplement ma vie. Pour en savoir plus sur les raisons de détester Facebook, le blog de Janet Street-Porter donne un bon aperçu. lien vers le billet

Personnellement, j'utilise Facebook. Je le prend comme il est, avec ses qualités et ses défauts. Je travaille présentement à l'étranger et je peux dire que c'est un excellent outil pour rester en contact et pour facilement partager, à tous d'une shot, mes aventures, mes photos...

Le conseil que je peux donner c'est de faire attention à qui on ajoute comme ami car une fois ajouté on est un peu pogné avec.

Mais en somme, tout le monde devrait être sur Facebook.

mercredi 4 août 2010

Complémentaire sur le billet Les médias sociaux versus les émissions de télévision

J'avais déjà vu cet article de ViralHeat qui regarde le lien entre la popularité d'une émission télé en audience réelle et le "buzz" sur le Net de l'émission. Je ne reprendrai pas l'analyse que Frédéric en fait mais la conclusion est négative, il n'y a pas de lien.
Pour en savoir plus : lien vers le billet

Ce que je veux ajouter concerne sa question finale :
Est ce que l'on a tendance à s'exprimer davantage sur les réseaux sociaux à propos de choses qui nous dérangent, que l'on aime moins versus l'inverse?

Je crois que les gens s'expriment sur les choses qui les touchent. Certaines émissions sont très regardées, beaucoup de personne l'aime mais ce n'est qu'un divertissement. Une fois l'émission terminé, oui ce fut bon, oui on a hâte à la prochaine mais il n'y rien vraiment à partager sur l'expérience. Et c'est là la différence. On va être tenter d'écrire sur le Web, ce qui revient à dire d'écrire à d'autres, ce que nous voulons partager.

L'amour est un sujet difficile à partager à plusieurs. Par contre, la haine est beaucoup plus facile à partager. Je crois que c'est pour cette raison qu'il est plus facile de retrouver des commentaires négatifs que positif sur les réseaux sociaux.

mardi 3 août 2010

Ma perception de la conclusion de Aaron Delwiche

Ce billet est en réponse à Aaron Delwiche : lien vers l'article

Dans son étude, M. Delwiche conclue que les blogs peuvent influencer les informations transmises par les médias traditionnels. Je crois que la preuve a été faite que les médias traditionnels se servent des tendances sur le Web pour découvrir ce qui intéresse leur lecteur. Le Web et particulièrement les blogs ne sont plus qu'un simple ramassage d'informations. C'est justement à cause de cette diversité qu'il est possible de connaître l'engouement sur un sujet particulier. Certes des outils ont dû voir le jour pour permettre d'identifier les tendances mais si une nouvelle arrive à vous et votre entourage c'est que le mouvement du web a joué un rôle et que la nouvelle a certainement touché beaucoup de monde. Ces outils sont devenus si développé qu'il est possible de segmenté la population pour connaître exactement qui s'intéresse à quoi.

Ce que Steve Chaffee (écris avec Miriam Metzger en 2001) illustre bien : contrairement à avant où les médias dictaient aux lectorats quoi penser, aujourd'hui, grâce aux Web, ce sont les lecteurs qui dictent aux médias ce qu'ils veulent penser. J'aime bien cette façon de voir et je crois que l'affirmation est véridique. Parce que les gens font plus que s'intéresser à un sujet, ils vont s'intéresser à une opinion précise. C'est cette opinion qu'ils dictent aux médias de publier et donc ce qu'ils veulent penser.

lundi 2 août 2010

La confiance sur le Web

Aujourd'hui je vais traiter d'un élément extrêmement important pour permettre à son message de circuler sur le Web. Cet élément c'est la confiance ou la crédibilité.

Le premier élément qui donne la confiance aux internautes est certainement la sécurité du site consulté. Les nouveaux navigateurs (Internet Explorer, Firefox, Google Chrome) offrent tous des conseils et des avertissements lorsque nous tentons d'accéder un site. Si le site ne répond pas à certains critères un avertissement sera visible et bloquera le passage au site. Il est possible de se fier à d'autres critères, une liste est fournise sur le site de Microsoft : http://windows.microsoft.com/fr-FR/windows-vista/When-to-trust-a-website
Donc premièrement avoir un site de confiance, sans avertissement ou de chose pouvant laisser penser aux visiteurs que le site est dangereux.

Ensuite vient l'élément de crédibilité. La crédibilité est beaucoup plus difficile à s'approprier. Si le visiteur vous connaît alors la crédibilité déjà acquise sera transposé sur le Web. Par contre, pour un visiteur inconnu, la crédibilité va se gagner grâce aux messages véhiculés. La meilleure façon est de rester authentique. De cette manière, vos messages iront tous dans le même sens puisque vous exprimez votre opinion propre.

Bonne chance mais sachez qu'une fois la crédibilité obtenu, il est très facile de la perdre...surtout sur le Web.